Le 23 janvier 2001 pour une banale histoire de disparition d’une bouteille de gaz, neufs jeunes du quartier Bepanda à Douala sont interpellés et mis aux arrêts .
On n’entendra plus jamais parler d’eux. Ils ont été exécutés sans jugement, victimes du commandement opérationnel.
En un peu plus d’un an, plus de 1500 Camerounais ont été abattus de manière sommaire et extrajudiciaire.
De nombreuses familles pleurent encore en silence les enfants qu’ils ont injustement perdus.
Une douleur indicible. Les grandes douleurs sont muettes.
Les auteurs de ces assassinats odieux sont encore en vie. La terre est sale.
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