C’est une histoire qui a profondément marqué les Camerounais d’une certaine génération et a ébranlé les valeurs.
Il y a 40 ans jour pour jour, l’assassinat de monsieur Vincent Dikoum.
Dans la nuit du 29 janvier 1983, monsieur Vincent Dikoum âgé de 37 ans, cadre à la CAMBANK est sauvagement assassiné par des hommes de main recrutés par son épouse Marinette Ndomè; Il s’agit des dénommés Pouli, Ndzana et Ombouté.
Munis de longs poignards, les trois hommes pénètrent dans la chambre du pauvre Dikoum endormi et l’assassine froidement.
Le forfait commis, Marinette prend le volant pour aller jeter le cadavre de son mari. Elle est accompagnée de ses complices. Les conjurés iront jeter le cadavre de monsieur Dikoum dans le fleuve Sanaga. Le corps est soigneusement attaché à une pierre avant d’être jeté à l’eau ; ce afin d’éviter qu’il ne remonte en surface.
Pourquoi a-t-on assassiné monsieur Vincent Dikoum ? Quel est l’impact de ce crime sur la société camerounaise? Que sont devenus ces assassins?
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