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ðð ððšð®Ìð ðððð, ðð¡ðð â Neuf enfants, âgés de sept à douze ans, quittent le village de Bolounga.
Leur mission ? Trouver des escargots dans la forêt voisine et les vendre pour financer leur rentrée scolaire, prévue dans quelques jours. Rires, courses et éclats de voix résonnent dans le sous-bois alors quâils sâenfoncent dans la végétation dense.
ððð¡ððâ Toujours aucun signe dâeux.
Le village est en effervescence, chacun préparant le retour des enfants à lâécole. Personne ne sâinquiÚte encore. AprÚs tout, ils jouent souvent dehors jusquâau soir.
ðð«ðÌð©ð®ð¬ðð®ð¥ð â Lâattente se fait pesante. Où sont-ils ? Les familles sâinterrogent, la panique monte. BientÃŽt, une alerte est donnée et les villageois se mobilisent.
Des torches sâallument, des cris résonnent dans la nuit : on fouille, on appelle, on scrute chaque recoin de la forêt. En vain. Les enfants ont disparu. Comme sâils sâétaient volatilisés.
ðð¢ð§ð®ð¢ðâ Lâangoisse a gagné Bolounga. Le village est en état de choc. Les regards se croisent, inquiets.
Que sâest-il passé ?
Des jeunes, revenus plus tÃŽt de la forêt, racontent une scÚne terrifiante : le ciel sâest soudain obscurci en pleine journée. Une ombre étrange, lourde, presque palpable, a enveloppé les lieux, et une peur viscérale les a poussés à fuir. Mais quâont-ils vu ?

ðð ð¥ðð§ðððŠðð¢ð§ â Armés de sifflets et dâune détermination farouche, parents et villageois sâenfoncent dans la forêt.
Douze équipes ratissent chaque mÚtre carré des dix kilomÚtres de végétation où les enfants ont été aperçus pour la derniÚre fois. Mais pas une trace. Pas un vêtement. Pas un sac. Rien.
ð ð¬ðð©ðððŠðð«ð â Six jours dâangoisse. Lâarmée entre en scÚne. Des bataillons du Groupement Polyvalent dâIntervention de la Gendarmerie (GPIC) sont déployés.

ð ð¬ðð©ðððŠðð«ð â Lâaffaire prend une ampleur nationale. Le Bataillon dâIntervention Rapide (BIR) est appelé en renfort. Le Gouverneur du Littoral, accompagné des autorités militaires, se rend sur place. Pourtant, toujours aucun indice.
Les rumeurs enflent. Les hypothÚses se multiplient. Paranormal ? EnlÚvement ? Acte rituel ?
La peur sâinstalle, la forêt devient maudite. Plus personne nâose sây aventurer. La nuit tombée, Bolounga se barricade. Les visiteurs fuient. Le village se vide.
Puis, un rebondissement : des suspects sont interpellés. Sous la pression, ils désignent le chef du village, Benjamin Edongue.
Lâaccusation est grave : il serait responsable de la disparition et empêcherait même la libération des enfants. Lui et plusieurs notables sont arrêtés.

ðð¢ð± ð£ðšð®ð«ð¬ ð©ð¥ð®ð¬ ððð«ð⊠Toujours aucun signe des neuf disparus.
Que sâest -il passé ? Que leur est-il arrivé ? Sont-ils encore en vie ?
Les suspects sont-ils coupables ou simples boucs émissaires ?
La réponse à toutes ces questions en lisant mon livre â MystÚres et légendes du Camerounâ.
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La terre est sale ! Si Ú ne mvit ! Ngo Bagdeu !
Arol KETCH – 14.03.2025
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